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Critik en séries
26 mars 2008

FBI portés disparus : 6.09 Une seule erreur

without_traceOn en avait plus parlé depuis quelques semaines mais l’intrigue de la traître d’êtres humains est de retour. Vivian et Spike ont même un vrai bureau pour eux tout seuls. Et je dis bien tout seul car Jack ne veut pas travailler pour eux ni vraisemblablement leur donner une vraie équipe. Il doit jubiler d’écarter Vivian sur une voie de garage l’agent Malone. En plus il se fait vieux avec ses supers lunettes de geek. Ça doit quand même m’embêter de voir sa collègue sur un si gros coup alors il feint l’indifférence car l’intrigue est en tout point passionnante. On la suit uniquement quand elle avance, ça aide. L’une des filles arrive à appeler sa mère et l’équipe de choc débarque dans un bordel pour y trouver Henry Thomas le gentil Eliott de E.T transformé en proxénète. J’ai trouvé cela un peu choquant, ayant regardé à nouveau le film mythique de Spielberg il y a quelques semaines. Romar est assez intelligent pour se faire passer pour un simple client du bar à putes et est assez vite relâché. La fin est ainsi d’autant plus rageante pour Vivian car elle avait le mec et l’a bêtement laissé filer. Pour l’instant seulement deux filles sont retrouvés, dont une morte et l’autre dans un sale état. Cliché oblige, c’est la fille ayant passé l’appel téléphonique qui est retrouvée et pas une autre. Mais bon, on passe sur ce détail car j’ai trouvé cette intrigue vraiment bien menée. En plus elle risque de continuer encore quelques temps. C’est bien d’avoir un fil conducteur autre que la vie sentimentale des enquêteurs. En plus maintenant avec Henry Thomas et James Marsters, ça nous fait une jolie brochette de guest star. C’est toujours ça en moins de passé sans voir la tête d’Anthony Lapaglia. Oui, je sais, j’en rajoute un peu à chaque épisode sur son compte. Mais si j’aimais bien le personnage au début de la série, depuis l’intrigue Anne, il me sort de partout et ne sert plus à grand chose. Après tout je suis là pour donner mon avis donc autant le faire.

Les autres enquêteurs ont eux une disparition plus classique à résoudre. Une ex détenue a disparu et c’est l’occasion de parler intelligemment de la réinsertion difficile des anciens taulards et de voir l’impact sur les deux enfants de cette dernière. On évite pas les clichés du plus jeune toujours très attaché à sa mère et l’aîné plus critique sur les choix de cette dernière mais c’est relativement bien fait et réaliste du comportement de deux garçons de cet age là. Mais mis à part le traitement social intéressant, le reste est assez moyen. Je pense notamment à Sam montrant la photo du gamin à une possible suspecte dans la disparition de Natalie. Très malin de sa part, maintenant elle sait à quoi ressemble le témoin l’ayant vu, elle peut aller le buter. Bien joué Sam ! Heureusement pour elle, Marie n’a rien à voir avec cette histoire. Comme souvent ses derniers temps, la résolution tourne au n’importe quoi. Le plus jeune des garçons a tué sa mère par accident en conduisant la voiture et est reparti sans se retourner. Super crédible, mais bon on n’avait sans doute pas mieux. Bref dommage car l’histoire était bien construite jusqu’à ce dernier retournement.

C’est toujours un peu le même bilan depuis quelques semaines. FBI s’en sort avec un " peu mieux faire " comme on dit à l’école. L’intrigue de Vivian est bien menée malgré quelques facilités et un aspect jeu de piste à la " 24 heures chrono " passant d’indice en indice. L’intrigue du jour est elle intéressant sur le plan social comme sait si bien le faire la série mais on n’évite pas une fin brouillon. Les personnages récurrents sont toujours aussi interchangeables et les petites attentions de Danny pour Sam " attention femme enceinte " Spade commencent à devenir lourdes, d’autant plus qu’on cache toujours le ventre trop avancé de Poppy Montgomery et que Martin n’est toujours pas censé être au courant.

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