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Critik en séries
26 décembre 2006

FBI portés disparus : 4.17 Confidences

lapaglia_montgomeryUn épisode léger cette semaine et même franchement drôle sur la fin. Ça ne fait pas de mal dans une saison 4 plus qu’en demi teinte. Une chronique à la mode dans un journal disparaît mai comme elle est agoraphobe et n’est pas sortie de chez elle depuis deux ans c’est encore plus étrange. Comme j’ai bien aimé cet épisode, je vais tout de suite expédier le sujet qui fâche : Martin. La semaine dernière il était un méchant drogué donc en toute logique cette semaine il est le gentil agent du FBI super clean. Il plaisante même avec Sam comme au bon vieux temps mais tout les deux ont visiblement perdus la mémoire en ce qui concerne leur histoire. Tiens, durant leur liaison, Sam n’avait jamais pensé à lui parler de sa peur des tomates quand elle était petite. C’était une petite scène amusante dans la voiture.

On est  dans " Trace " donc forcément on joue à nouveau sur les fausses pistes pour cette disparition qui nous permet de croiser Hiro de la nouvelle série de NBC Heroes dans un rôle assez semblable et amusant. La scène où il essaye de faire sortir Rachel est tout de même forcée mais amusante. Le deuxième suspect est lui aussi assez original, un ex détenu surnommé bébé ours, un gars deux fois comme Jack mais qui semble lui aussi très gentil. Troisième suspect, un ami d’enfance de Rachel qui croit être responsable de son agoraphobie. Là encore l’interrogatoire tourne à la farce avec Jack qui le traite d’ivrogne parce qu’il a bu un peu chez lui, dans son salon ce qui est permis par la loi après tout. On joue avec les clichés mafieux où cette fois le parrain du coin n’est pas si méchant que ça et c’est même plutôt un gentleman vu la façon dont il accueille nos trois drôles de dames du FBI. Il est clair qu’avec Vivian et son super brushing, Sam la blonde et Elena la bombe latino, c’est plus un défilé de mode qu’une décente du FBI, mais ça on savait que la série n’était plus ce qu’elle était. Le gag de la cravate avait bien fonctionné il y a quelques semaines, logique qu’on nous refait le même coup avec Jack, une cravate bleue et Elena. Je dois dire que cette scène m’a plus car forcément on repense à la première intrigue de la cravate et cette fois ci c’était nettement plus amusant. L’histoire prend un nouveau tournant que l’on n’avait pas imaginé avec Rachel qui se découvre amoureuse de son assistante Bianca. Déjà qu’elle a peur de tout alors en plus la voilà lesbienne maintenant, elle accumule les complications de l’existence. Au moins son amour pour Bianca arrive à la faire sortir de chez elle et c’est un grand pas, elle décide même de retourner sur les lieux de sa première crise d’agoraphobie afin de défier le sort et d’être guérie. Jack ne manque pas d’humour quand il la retrouve au bowling. Déjà il y a le pierre, ciseaux, papier complètement décalé entre Jack et Danny puis les commentaires de Jack comme quoi Rachel est l’agoraphobe la plus nulle du monde vu qu’on la retrouve à 25 kilomètres de chez elle. Deuxième, Jack ne peut pas l’aider, il n’a jamais été lesbienne… sauf dans un rêve. Comme quoi on peut traiter une histoire de lesbienne sans drame, avec humour et un happy end final un peu kitsch avec mafieux et flics qui font un bowling. Le clou du spectacle arrive avec Jack et Danny qui se mettent un chanter une chanson italienne que l’on entend dans le parrain de Coppola.

Bilan : Un très bon épisode un peu décalé qui m’a fait passer un bon moment. Comme quoi la série arrive encore de temps en temps à nous sortir de bonnes choses.

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Commentaires
F
That's Amore de Dean Martin est le titre de la chanson qu'entonnent Jack et Danny
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